Les bienfaits de l’imagination

 

J’en viens donc à mon apologie des bienfaits de l’imagination, notamment dans la fiction, et surtout dans les contes de fées, les légendes, la science-fiction…

Je crois que la maturité n’est pas une question de croissance, mais de développement, qu’un adulte n’est pas un enfant mort, mais un enfant qui a survécu.

Je crois que toutes les meilleures facultés d’un être humain en pleine maturité existent déjà chez l’enfant, et que, si ces facultés sont stimulées pendant l’adolescence, elles s’épanouiront chez l’adulte, mais si elles sont réprimées et niées pendant l’enfance, elles empêcheront les adultes de les développer.