Ce matin, un marchand a donné un ballon à Akiko.
Pour que le ballon ne s’envole pas, le marchand l’a attaché au doigt d’Akiko.
Comme il était bien attaché, le ballon a suivi Akiko jusqu’à sa maison.
« Nous sommes arrivés, ballon. »
Maintenant, on détache la ficelle.
« Allez… ballon ! »
« Hé, où tu vas ? »
« Maman, maman ! Je ne peux pas l’attraper ! »
« Tiens, le voilà. »
« Maman, il est encore parti là-haut ! »
« Attends », dit maman, « j’ai une idée. Regarde bien ce qu’on va faire. »